La financiarisation de l’économie mondiale impacte les états, les régions et les entreprises. En imposant le principe de mise en concurrence, elle engendre une réelle pression sur les salarié.es.

Des droits pour les salarié.es

Alors que les multinationales imposent leurs stratégies libérales aux états, au mépris des enjeux industriels et sociaux, il nous faut construire une autre voie et conquérir de nouveaux droits pour les salariés. Ainsi, la résignation doit laisser la place aux aspirations des salariés et des citoyens, pour que ceux-ci redeviennent acteurs dans l’organisation de leur travail et dans la détermination de la stratégie de leur entreprise.